En quête de shares : quel est le type de contenu qui fonctionne ?

De nombreuses personnes accordent une grande importance aux « partages de contenu ». Partager du contenu ne signifie pas uniquement élargir son audience. Quand votre public partage votre contenu, c’est une première forme importante d’engagement. Certains types de contenus se prêtent mieux au partage que d’autres. Lesquels ? Une nouvelle enquête de ClearVoice révèle quelques notions intéressantes.

Une recommandation donnée par quelqu’un que vous connaissez est efficace. Nous n’avons pas besoin de l’enquête de ClearVoice, spécialiste américain en softwares pour la création et le management de contenu, pour le savoir. Ces dernières années, la variante médias sociaux du vieux bouche-à-oreille est devenue incroyablement populaire dans les rapports que les marketeurs de contenu fournissent à leurs CMO. Les shares et les likes sont devenus des KPI (ou ICP) que nous guettons tous avec le plus grand intérêt

Sharing is not everything

Nuance importante : les shares ne révèlent pas tout. Ils indiquent dans quelle direction va l’engagement, mais ne vous laissez pas aveugler. Les shares sont un moyen : pour construire plus d’audience, pour travailler à votre brand management ou à votre notoriété, pour savoir si votre public apprécie votre contenu. Mais ne faites pas du nombre de shares votre objectif ultime.

La variante médias sociaux du vieux bouche-à-oreille est devenue incroyablement populaire dans les rapports que les marketeurs de contenu fournissent à leurs CMO

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Une enquête récente de ClearVoice, à télécharger ici, s’attache à la question de savoir quels types de contenus conviennent idéalement quand vous voulez inciter votre public au partage. C’est intéressant car les marketeurs de contenu partent souvent à juste titre de l’idée que le contenu doit être qualitatif pour stimuler le partage – « Only good content travels ». La qualité reste la condition de base mais il n’y a aucun problème à faire des choix orientés et à accorder une place plus privilégiée à certains types de contenus si le partage est un KPI tout aussi important

Autres secteurs, autres types de contenus

ClearVoice a analysé 640.000 actifs de contenu dans quatorze secteurs. Les différences par secteur sont particulièrement intéressantes. Mais vous pouvez néanmoins tracer une ligne spécifique : les infographies dominent dans de nombreux secteurs, tout comme les listicles (sous des formes variées), mais il existe toutefois des différences. Les secteurs du voyage et de la technologie ne sont pas favorables à la diffusion de types de contenu à la teneur plus longue, alors que le secteur de l’immobilier préfère diffuser des vidéos.

sharing

Où partageons-nous du contenu ?

Autre différence notoire : le lieu où un public partage du contenu. Cela n’a parfois rien de surprenant : dans le secteur des affaires, c’est LinkedIn qui l’emporte avec six partages sociaux traçables sur dix. Ajoutez-y Facebook (35,7%) et vous aurez retrouvé pratiquement tout ce qui se partage. Mais si vous prenez les RH, Facebook distance largement LinkedIn (72% contre 22%), alors qu’une grande partie du business model de LinkedIn est centré sur les personnes en recherche d’emploi. Partageons-nous aussi ailleurs ? Certainement. Pinterest, par exemple, arrive en tête dans le secteur beauté & bien-être.

Que faire de tout cela ? 

– Nuancez. N’interprétez pas de manière ‘manichéenne’ les données que ClearVoice a lancées sur le marché. Si vous êtes un institut de beauté, vous ne devez en aucun cas clôturer votre compte Facebook.

– Planifiez. Les informations vous aident à renforcer votre calendrier de contenu. Le rapport présente, par exemple, des informations par secteur sur les jours où votre contenu a le plus de chance d’obtenir des shares.

– Affinez. Arrêtez de croire que le marketing de contenu est le même dans tous les secteurs. Ce rapport montre qu’il existe au moins quatorze types de marketings de contenu.

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